Jean Bergeron
L’écriture est une activité qui vient tout juste de se manifester dans ma vie. J’ai 64 ans, Montréalais pure laine. J’ai pris ma retraite après avoir travaillé 38 ans chez Bell Canada. J’ai commencé à écrire comme ça, après en avoir rêvé durant la nuit. Lorsque j’ai commencé à mettre quelques mots sur ma tablette au lever, les mots sont devenus des phrases, les phrases, des histoires, mon histoire. Et j’ai réalisé à quel point écrire me rendait heureux. Quand j’écris, j’entre dans un monde à part où mes personnages prennent toute la place. C’est tout à fait captivant.
Mon plus grand rêve serait d’être publié un jour et que mes histoires touchent les lecteurs. D’être finaliste au concours Fierté Littéraire est déjà un bel accomplissement pour un gars qui vient tout juste de découvrir sa passion. C’est un encouragement à continuer, une validation que j’ai peut-être ce qu’il faut pour réussir.
Je ne demande pas mieux que de toucher les lecteurs avec mes mots.